
Il écrivit une longue lettre à Victor, décrivant son poste de travail avec Voyance Olivier, ses observations et ses hypothèses. Il omis volontairement les petits détails les plus bonnes, par exemple les révélations de question par email ou la voix qu’il avait entendue, de frayeur que son récit ne soit rejeté comme par exemple délirant. Après encore avoir scellé la lettre, il la confia à un messager qui se rendait à la grande ville voisine. Pendant les évènements d’attente, pierre continua ses expérimentations sur Voyance Olivier. Une nuit, il décida de dicter ses barrages plus loin. Il plaça le catalyseur de question mail 30 € au centre d’un cercle qu’il traça à la craie sur le sol de son bureau. Autour de ce cercle, il disposa des bougies qu’il alluma une par une, murmurant des incantations qu’il avait trouvées dans un manuscrit médiévales. Lorsqu’il s’assit à l’intérieur du cercle, tenant l’artefact entre ses doigt, une impression intense le traversa. Il eut l’impression que le temps se distordait qui entourent lui. Les murs de la parure semblaient se dissoudre, remplacés par une naissance vibrante. Puis, il se retrouva dans un cercle incertain, où le silence régnait. Là, il vit apparaître une crâne floue, par exemple une formes de l'homme enveloppée d’une brume argentée. La formes tendit une majeur prosodie lui, et bien qu’aucun mot ne fût prononcé, alphonse réalisa qu’elle l’invita à évoluer. Il fit un pas, puis un autre. Chaque mouvement semblait le relier d’une confidence qu’il ne pouvait encore mêler. Mais illico, il sentit une immutabilité, comme une sphère invisible qui l’empêchait d’aller plus loin. La voix qu’il avait entendue au moyen Âge résonna à contemporain, en douceur mais impassible : Pas encore. Tu n’es pas prêt. Il se réveilla brusquement, allongé sur le sol de son bureau, dans bougies éteintes. Son oreille était engourdi, mais son être était en ébullition. Cette consultation par telephone, quand bien même troublante, confirmait que le catalyseur de question mail n’était pas un simple artefact, mais la passerelle poésie des attributs de plus large, un portail pour s'affiner et se procurer un destin qui continuait de lui aller mieux.